SVP Information Décisionnelle et Case Law Analytics : un partenariat idéal, pourquoi ?

La solution Case Law Analytics était tout à fait en phase avec le métier de SVP Information Décisionnelle, qui est de fournir à ses clients de l’information permettant de sécuriser la prise de décision, car elle offre la possibilité de quantifier le risque contentieux, de pouvoir le provisionner et surtout en amont de le prévenir.

C’est donc un partenariat idéal par rapport à notre métier qui est d’aider à la prise de décision dans un domaine juridique donné, sachant que nos champs d’intervention sont beaucoup plus larges (informations économiques, financières, marché, technologiques, veille et études stratégiques).

De l’utilisation au co-développement de modules

Nous avons commencé par une première expérimentation avec l’utilisation du module « indemnités pour licenciement sans cause réelle et sérieuse » puis nous avons étendu au domaine commercial avec « la rupture brutale des relations commerciales établies ». Puis nous nous sommes lancés dans le co-développement de solutions avec Case Law Analytics : d’abord, dans le domaine RH avec les modules « clause de non-concurrence » et « licenciement nul » puis dernièrement dans le droit public avec « sanctions disciplinaires » et bientôt les baux commerciaux.

Depuis que nous avons noué ce partenariat avec Case Law Analytics, nous avons essayé de proposer un sujet de co-développement tous les ans et de le réaliser ensuite. Au fil du temps, nous avons acquis ensemble une méthodologie de travail très efficace permettant le développement de solutions dans des délais raisonnables.

« Un nouveau modèle relationnel est né avec l’utilisation de Case Law Analytics. »

Les solutions Case Law Analytics nous permettent d’être beaucoup plus dans l’interactivité avec nos clients en faisant en ligne et en direct des simulations par rapport à leurs critères personnels, de mettre en évidence très vite les risques encourus et le montant des dommages-intérêts à devoir et de pouvoir en modifiant certains critères faire voir à nos clients quel serait l’impact sur l’issue du litige.

Nos experts gagnent aussi en efficacité car ils n’ont pas besoin de faire la recherche préalable de la jurisprudence sur le sujet. C’est a posteriori qu’ils vont éventuellement reprendre certaines décisions. Avec Case Law Analytics, ils ont des juges virtuels pour analyser déjà un certain nombre de décisions et peuvent donc donner des éléments d’information immédiatement à nos clients.

L’utilisation de cette solution fait évoluer notre modèle relationnel avec nos clients.

J’ajouterai que l’intérêt pour nos experts est aussi de pouvoir disposer d’un rapport à la fin d’un échange et de le proposer à leurs clients qui retrouvent ainsi les points essentiels relatifs à leur dossier dans les domaines RH ou commerciaux.

L’intégration d’un module se fait toujours par phase expérimentale

Afin que les experts s’approprient facilement les modules de simulation, nous avons, à chaque fois, procédé par des phases expérimentales. Le premier contentieux que nous avons utilisé, « indemnités pour licenciement sans cause réelle et sérieuse », a été intégré auprès d’un groupe d’une quinzaine d’experts qui était volontaire pour faire un test et le proposer à nos clients.

Nous avons beaucoup travaillé en amont sur l’apport et l’usage de Case Law Analytics dans le cadre de la relation avec nos clients afin d’utiliser la solution dans les situations dans lesquelles son utilisation était totalement adaptée aux besoins des clients.

Cette intégration a été gérée comme un projet avec un chef de projet, un manager au sein de l’équipe RH qui a fourni des éléments de langage et de discours pour pouvoir présenter la solution aux clients. Puis nous avons élargi le nombre d’experts susceptibles d’adopter la solution.

Pendant les phases expérimentales, nous avons fait des points réguliers avec la première équipe qui a adopté la solution et avec Case Law Analytics afin de susciter l’usage et familiariser nos clients avec la  solution.

Comment se passe un co-développement ?

Un co-développement se fait à l’origine parce que les experts font remonter des sujets qui préoccupent nos clients et pensent que Case Law Analytics peut intervenir. Ces idées font ensuite l’objet d’une confrontation avec les équipes de Case Law Analytics.

Si ensemble nous pensons que c’est faisable, nous allons faire un premier pilote. Pour le contentieux concerné, nous déterminons un nombre de décisions ainsi que les critères d’analyse que nous avons fait remonter en perspective des décisions analysées, pour voir si le sujet et les critères font sens et si nous pouvons donc faire un co-développement pertinent en termes de résultat.

Si c’est le cas, ce premier pilote est déployé et analysé conjointement par nos équipes et celles de Case Law Analytics avant de décider d’éventuels ajustements pour effectivement aboutir à une solution concertée, pertinente et opérationnelle.

Avant le déploiement de tout nouveau module, co-développé ou conçu uniquement par Case Law Analytics, nous organisons toujours une présentation de celui-ci aux experts: information et formation, afin de faciliter l’usage dans la relation avec nos clients.

Avec Case Law Analytics, nous intégrons de l’innovation et de la modernité dans le contenu du service et la façon de délivrer le service à nos clients .Nous sommes dans une relation encore plus interactive avec eux.